Lettre d’information N°74 de l’association HandiVers Horizons – 31 janvier 2020

Le festival a  ans !

Et oui, ça y est la première décennie est atteinte. Même si ce n’était pas un objectif nous sommes heureux de constater que malgré les vents et les courants, les aléas et les incertitudes, le Festival Horizons Décalés est toujours là. Toujours là pour promouvoir la culture, les artistes, un regard positif et constructif sur le handicap et bien sûr les valeurs d’humanité et de fraternité.

A 10 ans on n’est pas très grand mais on a atteint l’âge de raison et déjà une petite expérience. Alors nous allons essayer de vous en faire profiter et vous proposer un programme … 100 % DECALE les 5, 6 et 7 juin à Verquières.

Même si nous allons faire quelques détours, contours et autres retours, le thème de cette édition sera Le handicap invisible. Vous savez celui qu’il est parfois compliqué de reconnaître, celui que porte ton frère, ta mère, ton oncle ou le copain de ta meilleure amie, tellement courant et en même temps si insidieux. Il s’appelle dys quelque chose, épilepsie, Alzheimer, TDAH, SEP, autisme ou autre terme aussi connoté qu’imprécis.

Comme d’habitude nous allons varier les plaisirs en accueillant divers arts où amateurs et professionnels se relayeront, se complèteront, se croiseront, peut-être s’opposeront, tels le yin et yang. En tout cas ils seront féminins et masculins, singuliers et pluriels, ombre et lumière, rires et émotions, simplicité et complexité, horizons et décalés…

Parrainé par le docteur Hassane Benkhlafa, entre autre directeur du festival Handifilm de Rabat (mais nous vous en dirons plus sur lui prochainement) la programmation sera bien entendu composée d’œuvres cinématographiques sous tous les formats : du long au très court métrage.

C’est d’ailleurs par le cinéma que nous commencerons les festivités le vendredi 5 juin. Avec un nouveau partenaire qui depuis la fin de l’été commence à être bien connu des Verquiérois. En effet le cinéma la Strada nous rejoint le temps d’une soirée pour une projection grand public d’une œuvre qui aborde le thème de ce 10ème festival.

Avant, après, (on vous déconseille pendant) vous pourrez profiter des expositions qui seront déjà en place : de la photo, des illustrations, de la peinture, des constructions… La palette est large.

Tout le week-end les artistes seront présents pour vous expliquer leurs démarches, leurs techniques, leurs passions, leurs luttes ou leurs aventures … Ils voisineront, côtoieront, partageront avec les auteurs venus présenter leurs ouvrages parfois juste sortis de l’imprimerie. Bref, un vivier de rencontres à faire que ce soit avec une œuvre ou un artiste.

Le samedi sera aussi consacré aux arts vivants et de préférence avec des prestations originales… on est quand même chez des décalés.

Vous attend un moment de grâce et de beauté avec ses artistes dont certains comme Nathan connaissent déjà la notoriété par leur « Incroyable Talent ».

Ou encore dans un même espace-temps de la chanson, de la danse, de la musique, du théâtre à six mains, qui se faufilent, courent, frappent ou caressent, nous emmènent loin. Oui c’est possible !

Bien entendu, il y aura la traditionnelle paella à partager tous ensemble que l’on soit artiste, organisateur ou public. La convivialité c’est dans l’esprit du festival.

Des concerts (on attend, on espère un « cas original »), des courts-métrages (une valeur sûre, souvent primés et pour certains en 1ère diffusion en France), des moments de débats (parce-que tout le monde est acteur et peut faire évoluer une pensée, une idée …) complèteront la programmation. Tout cela avec du rire, de la bonne humeur, des trouvailles ou des retrouvailles, de l’amour et de l’amitié.

Vous l’aurez compris nous souhaitons que ce festival soit avant tout un moment de détente, de voyage, de rêve et de plaisir. Nous l’organisons afin qu’il soit le plus convivial possible, propice à la découverte de l’autre, de son art, de son talent, de son humanité.

Voilà, nous arrivons au bout de cette lettre d’info, et c’est le moment d’avoir deux réflexes :

  • Restez connectés. Le FHD 2020 est en construction et nous vous donnerons bientôt d’autres nouvelles.
  • Et dès à présent réservez votre week-end des 5, 6 et 7 juin 2020 pour faire la fête ensemble.

Rédigée  par Dominique M.

Lettre d’information N°73 – Pour 2020, HandiVers Horizons veut le mouvement !

Bonjour,

Chaque début d’année est l’occasion pour souhaiter aux autres ce que l’on voudrait, en fait pour soi-même, aussi notre association aimerait pour vous

Du mouvement pour 2020 !

Pour commencer, bougeons à l’intérieur de nous-même en prenant de bonnes résolutions pour cette nouvelle page blanche qui s’ouvre.
Ouvrons notre esprit vers la culture, l’harmonie, le rare et le Beau et mettons en mouvement notre imagination, notre créativité.
Bougez cela veut dire aussi SE bouger ! L’action,  le mouvement c’est la vie !
Soyons actifs et fuyons l’inertie, la routine, les pantoufles, la télé, les écrans…
Soyons acteur de notre vie et pas seulement spectateur de celles des autres.
Nous devons aussi ouvrir les yeux sur le monde qui nous entoure, sur ses éclats, ses richesses, ses joyaux mais aussi ses failles, ses dysfonctionnements, ses menaces, ses injustices.
Pour sortir de l’isolement, rencontrer d’autres personnes, d’autres mouvements, il faut aussi se bouger pour l’autre en osant faire le premier pas, en rejoignant une association, en militant pour une cause qui nous est chère…

Dans tous les sens et avec tous vos sens, nous vous souhaitons la Vie tout simplement.

Rapport d’activités  2019

Une année qui s’ouvre c’est aussi l’occasion de faire un bilan de celle qui vient de s’écouler.

Pour sa 10ème  année d’existence, HandiVers Horizons poursuit son action avec trois événements majeurs :
–  une sensibilisation au handicap vers ceux qui feront la société de demain, les jeunes ;
une Journée Horizons Décalés pour promouvoir des artistes autrement valides et des œuvres ayant un regard nouveau sur l’altérité, la différence, la singularité ;
–  un voyage au Japon pour ouvrir d’autres horizons à ceux qui ont davantage de difficultés  pour y accéder.

Au travers de ses réalisations, de sa communication ‘à large spectre’ et grâce à une équipe ancienne et en renouveau de bénévoles motivés, HandiVers Horizons continue sa route pour dénoncer et faire barrage à l’exclusion, aux discriminations et proposer, à notre niveau et avec nos moyens, un monde où prime la solidarité, le partage et le vivre ensemble.

Vous pouvez lire le détail de notre Rapport d’activité 2019 illustré et en PDF sur notre site Internet.

Nous soutenir !

Nous n’avons pas, comme d’autres associations, une politique « agressive » pour faire adhérer. Nous nous contentons, une fois par an, en même temps que de vous présenter notre bilan, de faire un léger appel du pied pour ceux qui le voudraient, qui le pourraient.

  • Pour nous rejoindre en tant que membre adhérent, vous pouvez le faire en ligne ou par voie postale. Les explications et le bulletin d’adhésion sont ici.
  • Vous pouvez également faire un don avec 66% de votre montant déductible des impôts; notre association étant reconnue d’intérêt général.
  • pour ceux qui ont du temps, de l’énergie, devenez membre bénévole et nous vous accueillons à bras ouverts. Nous avons besoin d’aide pour la comptabilité, le secrétariat, l’actualisation de notre site Internet, l’administration de notre association… 

Nos voyages organisés

Depuis le 1er décembre 2009 et jusqu’au 16 juin 2019, HandiVers Horizons a organisé 15 voyages  pour 151 personnes dont 68 avec un handicap moteur, 13 avec un handicap visuel, 6 mental, 2 psychique et une personne avec un handicap moteur et psychique !

Ce fut chaque fois un gros défi surtout pour nos 9 circuits à Bali et les 2 à Cuba car le repérage (hébergements, restaurants, visites, transports et aides humaines), la conception du programme et son organisation ont été réalisées par nos soins sans l’aide d’une agence de voyage sur place. Les 4 autres (deux au Vietnam, en Inde et un autre au Japon) avec notre ami Clément de l’agence de voyages spécialisés Roll In Asia furent plus simples pour nous à mettre en œuvre.

c’est fini !

 Par décision du Conseil d’Administration en date du 7 décembre 2019, compte tenu de la réglementation de plus en plus drastique notamment avec l’Immatriculation tourisme, même au niveau associatif, et pour ne pas avoir de gros ennuis, HandiVers Horizons n’organisera plus de circuit !

Mais …

Ceci dit, nous continuerons à promouvoir les voyages pour, par, avec les personnes handicapées quelques soit leur handicap :

  • en continuant, grâce à notre réseau, à mettre en contact celles et ceux avec un handicap, qui ont un projet de voyages et qui recherchent un accompagnateur, une accompagnatrice. Nous pourrons mettre également leur annonce sur notre page Facebook.
  • en donnant davantage d’informations sur ce qui existe au niveau associatif, expériences d’handi-voyageurs… etc. dans notre page « Nos bonnes adresses ».

 

De toute façon, ce qui va nous faire bien voyager cette année, c’est la 10e édition de notre Festival Horizons Décalés !
Des nouvelles bientôt… patience !

Lettre rédigée par Alain

Lettre d’information N° 72 – Les Horizons Décalés de retour à Verquières

Finit les vacances, les apéros interminables et les « Ce n’est pas grave demain on dormira ». La rentrée est là avec sa réalité scolaire, professionnelle bref très rythmée et parfois un brin trop routinière. Avec quels horizons pour demain ?

C’est une question qui doit être sagement et attentivement étudiée. Demain devrait être source de nouveaux rêves et autres projets décalés. Mais avant cela, pour l’association HandiVers Horizons, ce moment est aussi l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur, particulièrement sur la Journée Horizons Décalés du 1er juin dernier.

Après une édition 2018 à « l’extérieur », chez nos voisins et amis de Cabannes, nous avons retrouvé avec bonheur et réinvesti avec enthousiasme la salle polyvalente de Verquières. Cette dernière avait profité de notre escapade Cabannaise pour se refaire une beauté. Et c’est plutôt réussi ! Agréable, lumineuse, aux couleurs plaisantes elle dispose d’un espace (salle de danse) transformable en loges également bien équipé et accessible. Le noir total est maintenant possible et du coup les conditions de projection sont bien adaptées. L’écran est peint sur le mur de fond. Elle a été également repensée avec un espace cuisine/bar qui donne directement sur la salle. Et elle est (presque) totalement accessible (pas la scène).

Bref des conditions bien sympathiques pour l’accueil d’une édition 2019 « à la maison ».

Sous la direction de Ludovic Guillon les artistes et bénévoles ont pris possession des lieux.

D’abord avec l’installation des expositions. Lucile NOTIN-BOURDEAU accompagnée de sa mère Eugénie Bourdeau est venue présenter un aperçu de sa très large production de dessins. La vie et les thématiques qui la traversent, la complexité entremêlée de simplicité, oxymore de l’ordinaire dans la perception de cette jeune fille, à l’œuvre ô combien touchante et attachante.

 

Jocelyne TUAL BEAUGRAND, artiste peintre dont la sensibilité transparaît tant dans ses tableaux que lors des échanges avec les visiteurs ou les bénévoles, toujours teintés d’humanité et de simplicité. Si vous n’étiez pas là, elle a un site web pour un rattrapage . http://j.beaugrand.tual.free.fr/atelier.html

 

Enfin l’exposition des photos Handivers Horizons. 9 années à travers des morceaux choisis. Ça parle à beaucoup, souvenirs et émotions.

Est venu le moment de l’art vivant. Francis Cauli et ses jeunes artistes de l’école de cirque «Surunfil», comme il se dit dans le sud, «nous ont régalé». Des prouesses de tout ordre dans lesquelles on entrevoit une préparation fine, des talents avérés, des possibles insoupçonnés, mais aussi de la bonne humeur, de l’humour, de l’interaction, et un M. Loyal passionné. C’est décalé comme il faut.

 

C’est ensuite la Cie La Même Balle avec son spectacle « C’est pas pareil » qui a enchaîné. La clownerie est un art à part où parfois le public a du mal à se laisser embarquer. Une prestation en rodage sur une idée originale mélangeant les genres associés à un burlesque parfois inaccessible à une part du public.

 

Le temps d’une pause et nous avons ensuite pu assister à une projection de courts métrages. Patrick Coindre nous avait concocté une programmation…… excellente !

Une heure trente d’émotions, des séquences qui viennent vous remuer au plus profond de vous-même. Des scènes qui ont toutes en commun la beauté (même du triste), l’espoir et surtout l’Humanité. Belle leçon.

–              « Dans la quête d’un absolu » d’Eugénie Bourdeau : où l’expression graphique de Barbouillec Sp rencontre celle de Lucile ou le contraire. Une histoire de rencontres en tout cas….

–              « Pita » de Gabrielle Sheepard. On suit cette mère, patiente et aimante, qui va se décaler pour accéder à une communication avec sa fille autiste.

–              Quelle claque avec « Préambule » film de sensibilisation de l’association Noémi. Ou comment l’adulte se laisse formater par de « mauvais bons sentiments ». Le regard d’enfant, sans préjugé, sans mauvaise pitié, que nous avons tous eu, disparaîtrait avec l’âge ?

–              « Clac ! » De Fabien Ara. Evoquer les thèmes d’Alzheimer et du suicide dans un même film entraine le risque de produire une œuvre violente (ça l’est), dramatique (c’est le thème) mais aussi tellement cynique qu’elle en est drôle. Un sujet de philo pour les futurs bacheliers ?

–              « Tendre Héritage » de Florent Brischoux traite d’une question universelle. L’amour. En l’occurrence celui qu’on peut offrir à une personne dépendante lorsqu’il n’y a plus de parenté. Encore un sujet philo mais aussi sociétale (d’ailleurs est-ce dissociable ? ).

–              « Sans mot dire » de Quentin Lecocq. Justement comment dire ? Tu ne m’entends pas, je ne te vois pas. Alors on ne va pas pouvoir se rencontrer et construire ensemble ? Pas si sûr.

–              Et pour terminer, « 135 euro » un très court métrage de et avec Denis Lefdup.

 

Dans l’assemblée on pouvait reconnaitre M. Martin Teisseire, maire de Verquières , en compagnie d’élus Saint-Rémois : Patricia Laubry adjointe à la culture et Gabriel Colombet conseiller municipal délégué au Patrimoine et monuments historiques et à la politique du handicap. Chacun d’entre eux a pu montrer son intérêt pour notre manifestation en prononçant quelques mots. Alain Comoli, Président de l’association Handivers Horizons et Ludovic Grillon l’organisateur de la JHD ont également pris la parole en ouverture du vernissage des expositions. Ce fut alors le moment d’entendre les artistes, puis d’échanger avec eux autour d’un apéritif offert par la municipalité de Verquières.

Un vernissage et apéro plus tard nous avons partagé une paëlla concoctée par Laurent. Toujours appréciée il ne peut en rester. Après ce moment roboratif bienvenu, nous avons ensuite pu découvrir

 

Fgad : accompagné par son ami et prof de guitare Pablo, ce rappeur se produisait pour la 1ère fois sur scène. Ses textes sont engagés voire révoltés, toujours pour la cause des personnes en situation de handicap. Au final, une bonne participation du public et une belle prestation de ces deux lyonnais malgré un son parfois médiocre.

Pour terminer cette édition Denis Lefdup accompagné de plein de Lefdup. Un groupe d’amis, passionnés par leur métier, la musique, et semble-t-il heureux de se retrouver pour jouer ensemble. Des gens simples qui pour autant font très bien les choses. Dommage, c’était un peu court.

 

Nous avons reçu de magnifiques témoignages de sympathie lors et à la suite de cette JHD 2019, «d’anonymes» ou d’artistes. C’est aussi cela la récompense d’une année de travail. Je vous propose des extraits de ceux de Denis Lefdup et de Joseph Dahan.

« Quand Alain m’a contacté, il s’est présenté ainsi : « Je suis myopathe (oui mais aux bons œufs frais !) ». Un petit tour sur Facebook… ce mec est dingue. Je fais généralement un concert tous les dix ans et j’avais déjà atteint mon quota l’été dernier (…) Petit tour des copains musiciens pour voir qui serait dispo pour remettre ça… Tous. Alors on a répété, encore plus que pour le précédent concert. J’ai même réussi à apprendre par cœur certaines chansons… c’est dire.

A Paris, le printemps avait été plutôt pourri et mouillé. A Verquières c’était déjà l’été. Rien que ça nous promettait déjà un week-end réussi.

Premier contact avec la population locale : Ludo… Il a un handicap étonnant : il ne tient pas en place et ne dort jamais. Visiblement il sait tout faire, et il fait tout. (…)

Le jour J au matin premier petit dej en plein air dans cet étonnant jardin si bien décrit par mon camarade de jeux Joseph Dahan. Puis vient l’heure de se diriger vers le lieu de nos futurs exploits. (…) une école de cirque répète son spectacle et on découvre les œuvres exposées. Il va falloir être un peu patient pour faire la balance. Ce qui implique quelques heures de glandouille sur le site. Une petite bière fraîche au soleil, elle n’est pas belle la vie ?

Arrive enfin le grand soir, entamé par une paëlla géante. Ça marche toujours ça, la paëlla. On digère tranquille en écoutant Fgad, avec qui on passera d’ailleurs un moment sympathique en « after » dans le jardin.

C’est l’heure. Certes la salle n’est pas comble, mais suffisamment remplie pour qu’on sente que ça réagit plutôt bien. Très bien même au point que par moments ça guinchait dans les fauteuils… A croire que les gens dits « cassés » aiment bien se marrer aussi …. Dois-je ajouter que ça reste un super souvenir ?

Denis Lefdup »

 

« (…) Pour ma part un concert inoubliable, surtout avant et après! L’arrivée chez Alain, petit chemin en cailloux et ensuite le jardin bunuelien car cela m’a rappelé le film « le chien andalou » (….) C’était un vrai plaisir de jouer chez vous! Suis reparti chez moi avec une édition qui compilait les dessins d’une jeune autiste de 16 ans qui dessine magnifiquement (c’est d’ailleurs un de ses dessins qui officie sur l’affiche du festival), à la fin du concert je lui ai prêté ma basse ! Tout était un peu extraordinaire! Le début des festivités avec le cirque, ensuite des chanteurs se sont succédé . Nous avons clôturé avec le plaisir de jouer les chansons de « Denis Lefdup » devant le public ! et puis l’apéro de soirée chez Alain pour fêter ça! Merci (…) pour votre gentillesse et votre accueil chaleureux (…) ça a été pour moi une expérience inoubliable, sincèrement ! Joseph »

 

Cette JHD, au milieu d’un long beau week-end de 4 jours pour beaucoup de monde, a somme toute vu passer pas mal de monde. Bien sûr le soir le public était moindre, mais celui-ci était des plus chaleureux. 65 entrées au concert et 76 paëllas réservées, des pâtisseries orientales, du thé à la menthe et quelques boissons, des ventes de t-shirts, livres… et voilà une édition qui s’équilibre budgétairement.

On pense à l’année prochaine, ce qui pourrait être amélioré, ce qui pourrait être différent, ce qui pourrait être aménagé, ……. ce qui pourrait être tout court.

10 ans de festival, c’est un beau prétexte pour organiser une belle fête artistico-culturo-humano-décalée. C’est aussi un lourd défi pour une association qui ne tourne que par du bénévolat, et qui du coup à toujours besoin de nouvelles idées, de nouveaux bras, de nouvelles subventions, de nouvelles rencontres, de nouveaux horizons…. A bon entendeur…

Et avant de vous quitter, on lance un APPEL. Si vous avez pris des photos lors de la journée du 1er juin et que vous voulez bien partager on prend toutes les contributions. Vous pouvez les envoyer à cette adresse : contact@handivers-horizons.fr. Merci !

Rédigée  par Dominique M.